«La route, désespérément droite et plate, précipite sous nos roue ses ornières profondes. De temps en temps, le chauffeur stoppe, apparemment sans raison; ses yeux rougis pleurent des larmes terreuses; aveuglé par une poussière qu'aucune lunette ne peut filtrer, philosophiquement, il se nettoie les paupières, embraye et repart. La gourge passe de main en main, car il faut digérer tout le sable avalé..»