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- Paris, 13
juin 2020 - 17 juin 2020 - |
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BOULEVARD JEAN RASPAIL |
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JANVIER 2022 : Le dernier ouvrage de Jean Raspail Petits Éloges de l'Ailleurs Chroniques, articles et entretiens Préface, notes et textes choisis par Philippe Hemsen |
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« Ailleurs, écrivait Jean Raspail, c’est un pays lointain, souvent rêvé, un peu flou, un peu mystérieux, un pays pour l’âme, pour le cœur, une sorte de seconde patrie, peut-être imaginaire, peut-être vraie, un territoire vierge, un royaume perdu où l’on se retrouve soi-même, une frontière au-delà de laquelle, plus loin encore, on découvre une autre frontière, et ainsi de suite, sans fin, car derrière ailleurs, c’est encore ailleurs, et, ailleurs, c’est (aussi) l’espérance. » Grand bourlingueur durant la première moitié de sa vie, grand romancier durant la seconde, homme engagé, amoureux fou d’une France dont il redoutait qu’elle ne fût vouée au même destin tragique que ces mondes à jamais disparus dont il avait suivi passionnément les dernières traces lors de ses grands périples au long cours, au Japon, aux Antilles ou en Amérique du Sud, Jean Raspail s’est toujours situé au-delà d’une certaine frontière, ouverte sur d’autres chemins de vie. Présenté et préfacé par Philippe Hemsen, ce recueil, qui rassemble de nombreux écrits, articles de presse, récits de voyages, critiques littéraires, réflexions, débats, où domine une perception du réel tout à la fois distanciée et nourrie d’une longue mémoire, se propose comme un vaste tour d’horizon des multiples mondes de Jean Raspail, invitation à franchir les frontières de la géographie et de la pensée. |
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En librairie le 26 janvier 2022 |
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Philippe Hemsen, diplômé de l’Université de Lille III, est notamment l’auteur d’un essai sur les œuvres de Jean Raspail, Les Rendez-vous de Sépharée, paru dans le recueil Hurrah Raspail ! (La Nouvelle Librairie, 2021), d'un ouvrage sur Stephen King et de diverses contributions sur Richard Wagner et sur la musique française d’inspiration wagnérienne (Richard Wagner Präsenz in Frankreich in “Kinder, macht Neues !”, Hans Schneider Verlag, 2013) |
Message d'Aliette Raspail |
Le Consul général de Patagonie est mort le 13 juin 2020. Il a été béni en toute gloire, orné de son drapeau, devant Dieu et ses Patagons émus. J'ai moi-même mis ce drapeau dans sa tombe pour l'éternité. Ainsi se temine cette grande idée d'une Patagonie Idéale et le "Jeu du Roi", comme Jean l'a désiré. Dès lors, il n'y aura donc plus de nouveaux Patagons, la chancellerie ferme ses portes et il n'y aura plus de BLAP... Les Patagons comprendront et garderont le souvenir de cette grande aventure, que nul autre que Jean Raspail pourrait poursuivre. |
2021 : Le livre-hommage... |
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Un navire nommé Jean
Raspail |
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2019 : Réédition du Roi au-delà de la Mer |
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Les excellentes éditions Via Romana ont déjà procédé, dans les années passées, à la réédition de plusieurs ouvrages réputés introuvables de Jean Raspail (voir ci-dessous), à commencer par le second roman de l'auteur, Les Veuves de Santiago, en 2010, suivi par Secouons le cocotier en 2012 ; Bleu Caraïbe et citrons verts en 2014 ; La Hache des Steppes en 2016, et Terres Saintes et Profanes en 2017. Cette même année, les éditions Via Romana ont également republié le petit livre d'Aliette Raspail, illustré de photos de l'auteur, Nuages blanc et les Peaux-Rouges d'aujourd'hui. Aujourd'hui, c'est au tour du Roi au-delà de la mer - ouvrage datant de l'an 2000 - d'être opportunément réédité, agrémenté d'un Avant-propos inédit de l'auteur... Le Roi est mort, Vive le Roi est «le livre d'un homme libre, écrivions-nous en l'an 2000, à la parution de l'ouvrage. Libre comme on ne peut espérer l'être un jour qu'après avoir beaucoup vécu [...], quand on s'est détaché de l'envahissante présence d'un présent qui, comme le soulignait Goethe, en son temps, dans un de ses entretiens avec Eckermann, n'est qu'un «mauvais brouillard pour le talent créateur», détruisant en lui «l'arbre de sa force créatrice, depuis la verte parure des feuilles jusqu'au plus profond de la moelle et de ses fibres les plus secrètes» (2 janvier 1824». Cette liberté, on la retrouve dans l'Avant-propos de l'auteur datant de l'été 2019, tandis qu'il s'adresse, d'une certaine manière, aux deux jeunes hommes qui incarnent aujourd'hui la continuité monarchique en France, Louis de Bourbon et surtout, sous la plume de Jean Raspail, au Prince Jean d'Orléans, à qui, de son propre aveu, il pensait, tandis qu'il écrivait Le Roi au-delà de la mer... * * * |
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Quatrième de couverture : Dans Le Roi est mort, Vive le roi !, Jean Raspail s'adresse à un jeune prince tentenaire au plus, car « passé cet âge, l'on se met à penser chacun de ses actes, on lime son coeur, on tue son âge, son se trahit à chaque instant, car nul ne peut mener sa vie autrement en ces temps qui sont les nôtres.» Et c'est l'appel d'un homme libre au roi qui retentit ici à l'oreille d'un prétendant qui oserait enfin crânement se déclarer le premier et esquisser un geste pour tirer du néant le principe royal par cette grâce divine qui fit les rois de France, et qui échappera toujours au pouvoir des hommes. Il suffirait pour cela d'un peu de mémoire historique, d'un peu de courage, d'un peu de fierté, d'amour propre, le tout chapeauté par un certain goût pour la belle attitude... |
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2019 : Réédition de Hurrah Zara ! |
Autre réédition dun « classique » de Jean Raspail, chez Albin Michel : Hurrah Zara ! sous le titre Les Pikkendorff, Jean Raspail n'ayant jamais aimé le titre d'origine, comme il nous le confia un jour... Il est vrai que le nouveau titre correspond mieux au contenu narratif du roman : la saga d'une famille emblêmatique de l'univers de l'auteur, aux ramifications - et aux exploits - innombrables, à travers le temps et à travers l'espace... Une grande bouffée d'épopée ! |
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Photo : Sophie Bassouls |
2019 : L'année de La Miséricorde... |
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Un inédit ? Pas tout à fait, même si Jean Raspail souhaite considérer la parution chez Équateurs de La Miséricorde comme l'édition "originale" de son mythique roman. En réalité, celui-ci avait été déjà publié à deux reprises : tout d'abord, à 140 exemplaires sur Vélin, en 2015, aux Éditions des Amis de la Librairie Fosse, à Paris ; puis dans le gros volume Là-bas, Au loin, Si loin, dans la collection Bouquins, chez Robert Laffont (2015). - "Mythique" car voilà des années que Jean Raspail en annonce la parution, sous divers titres : La Croix de Bief, puis Dieu cellule 25. Il en parlait parfois à ses amis, en évoquait la reprise, puis l'abandon, avant une nouvelle reprise, des corrections, une réécriture... Finalement, voici le roman. |
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Inachevé, donc... mais la frustration qu'on peut en éprouver est compensée par les conjectures auxquelles donnent lieu les points de suspension par lesquels l'auteur prend congé, nous laissant le soin d'imaginer une impossible fin à une histoire dont le mystère déborde de toutes parts la narration, l'intrigue étant elle-même empruntée pour une large part à un fait divers dont la monstruosité donne le vertige... (Voir la page que nous consacrons au roman dans la bibliographie). Mais ce début d'année 2019 a été aussi marquée par trois importantes publications dgnes de figurer au premier chef dans l'actualité raspalienne: Tout d'abord : le long et très bel entretien accordé par Jean Raspail à la revue Monde & Vie; Il y a eu également, publié dans la revue Éléments (n° 178 - juin-juillet 2019), le bel entretien accordé par Jacques Terpant à Pierre Saint-Servant...
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Et puis, voilà, comme chaque année l'arrivée du très attendu Bulletin de Liaison des Amitiés Patagones, "Le Moniteur de Port-Tounens", sompteux catalogue de toutes les activités, parutions, voyages, aventures, lectures, images, clins d'oeil et ferveurs diverses des sujets sans cesse plus nombreux de Sa Majesté Orélie-Antoine Ier... Merci au titanesque travail et au dévouement de François et Blandine Tulli !
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Quant à ce qui est de l'avenir, trois nouvelles publications s'annoncent : tout d'abord la réédition de Hurrah Zara ! sous un nouveau titre : Les Pikkendorff ; la publication chez Via Romana d'un volume intitulé Le roi est mort, Vive le roi ! et enfin la publication d'un sompteux album, à la Librairie Fosse, signé Jacques Terpant, sous le titre Trait-Portraits qui comptera, parmi beaucoup d'autres, un très beau portrait de Jean Raspail. |
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2017 : Une nouvelle réédition chez Via Romana... |
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Après Les Veuves de Santiago, Secouons le
Cocotier, Bleu Caraïbe et Citrons verts, La Hache des Steppe,
voici, chez Via Romana, une nouvelle réédition d'un ouvrage devenu
quasiment introuvable de Jean Raspail : Terres Saintes et
Profanes - un ouvrage datant de 1960, du temps où après
L'Amérique du Sud et du Nord puis le Japon, Jean Raspail et son épouse,
Aliette (dont il va être question, ci-dessous), se rendirent
Moyen-Orient... Quatrième de couverture :
« J'ai dû lire
et relire les Évangiles, les suivre pas à pas jusque dans les sables du
désert de Judée où le Christ jeûna, ou bien dans le Néguev qui vit
passer le trio fuyant de la Sainte Famille. L'histoire est passionnante.
De Renan à Barrès, de l'incroyant au fidèle, elle a envoûté tous ceux
qui, sur place, ne tenant compte que du cadre et des lieux vrais, s'y
sont consacrés sincèrement. - Un ouvrage loin d'être anecdotique, donc, pour tout lecteur des œuvres de Jean Raspail, qui y retrouvera, avec un sentiment de familiarité, cette curiosité mâtinée de mélancolie qui anime le regard de l'auteur, en quête des traces d'un monde disparu... ou sur le point de l'être. |
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Extrait : « De nos jours Nuage Blanc et les membres de sa tribu vivent dans de confortable maisons modernes. Mais lorsqu'ils se déplacent, il sont heureux de retrouver leurs huttes, ou wigwams, et leurs tupis facilement démontés et pliés.
Pour un tipi, on
assemblait trente à quarante peaux de bisons. On les remplace
aujourd'hui par un demi-cercle de toile de six mètres de diamètre. On
taille ensuite quinze petits pins dont on enlève les branches. Les trois
premiers sont liés avec une lanière et dressés en trépied. Les suivants
viennent s'y appuyer. Les derniers sont mobiles et soutiennent la petite
ouverture du sommet. C'est la cheminée. En déplaçant les perches, on
peut l'orienter suivant la direction du vent. Autrefois, chaque guerrier
peignait sur sa tente les combat dont il avait été le héros...
» |
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Le vice-consul de Patagonie, François Tulli, nous signale qu'il reste encore à disposition quelques exemplaires du
Moniteur de Port-Tounens
(BLAP) n° XVII - 2016-2017
A commander auprès du vice-consul : Monsieur
François Tulli, Chancellerie de Patagonie - 20 avenue de Lowendal, 75015
Paris |
Une réédition attendue... et La Rouërie.... |
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Quatrième de couverture : « Dans le trésor personnel de Jean Raspail figurait une hache de pierre noire, qui venait du fond des temps, du fond des steppes. Magnifique objet, objet toujours vivant. Symbole. Gage de vie, parfois gage de mort, la possession de la hache conduit jusqu'à nous, par miracle, des peuples perdus et des minorités oubliées, rescapées de temps révolus. Parfois, il ne s'agit plus que de leur souvenir, recueilli comme un dernier souffle, lien presque impalpable entre morts et vivants. Aïnos blancs du Japon, Ghiliaks de Sakhaline, Catholiques des catacombes du Kyu Shiu, Urus demi-dieux des Andes, Wisigoths du Languedoc, Caraïbes, Taïnos et Lucayens des Antilles, Guanaquis d'Amazone, descendants de hussards de Napoléon réfugiés dans la grande forêt russe, Huns survivants des Champs Catalauniques… Tous peuples d'ombres que Jean Raspail évoque passionnément après vingt-cinq années passées à suivre leurs pistes effacées. Livre grave et joyeux, à la manière de Jean Raspail, La Hache des steppes réveille en nous des échos profonds. Les hommes perdus qu'il évoque, ce sont nos frères, c'est nous-mêmes - venus du fond des temps, du fond des steppes, serrant dans notre main la hache immortelle.... |
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Autre ouvrage qui a été ajouté à notre bibliographie, Armand de la Rouërie, une biographie écrite avec Alain Sanders.
«
Armand de La Rouërie a été un des héros de l'indépendance
américaine (il est arrivé au secours des Insurgents trois mois avant
La Fayette). Il a été, via
l'association bretonne fondée par le comte de Noyan, l'inspirateur
de la chouannerie. Il n'en reste pas moins méconnu, pour ne pas dire
inconnu. En France. La Rouërie a suscité des fidélités indéfectibles. Celle du major Schafner, son lieutenant en Amérique, venu se battre - et mourir - à ses côtés en France. Thérèse de Moëlien, sa cousine intrépide, guillotinée à Paris. Monsieur et Madame de la Guyomarais, eux aussi guillotinés pour l'avoir caché. Et dix, vingt, trente autres encore... |
- AVRIL 2015 - |
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Quatrième de couverture : « Lecteurs ! Vous allez embarquer sur un navire étrange, un bâtiment littéraire. Il a largué les amarres il y a cinquante ans, à moins que ce ne fussent cinquante siècles (mais les faire-part de naissance importent-ils, en littérature ?). C’est un vaisseau de légende. L’équipage ? Des hommes inaptes à la vie moderne. Son port d'attache ? La mélancolie ou la lucidité, ce qui revient au même. Sa destination ? Tout horizon perdu. Vous vous apprêtez à voguer là-bas, au loin, si loin..., vers des horizons dissous dans la lumière. Vous croiserez des ciels de pluie, des mers labourées, des steppes sans contours, des forêts harassées. Vous rencontrerez des spectres, errant dans les brumes. Le monde n'a plus besoin de ces hommes. Pour eux, finalement, c’est une chance. Chassés par leurs semblables, ils échappent au pire. Et qui se souvient d'eux ? Raspail. » Sylvain Tesson Trois parties composent ce volume. Les deux premières illustrent les grands cycles romanesques de Jean Raspail : « La Patagonie » - avec Le Jeu du roi, Moi, Antoine de Tounens, roi de Patagonie (Grand Prix du roman de l’Académie française) et Qui se souvient des hommes... - et « Les confins » - avec Septentrion et Sept cavaliers quittèrent la Ville au crépuscule par la porte de l’Ouest qui n plus gardée. La dernière est constituée d’un seul ouvrage, inédit et inachevé, La Miséricorde. On croise dans la première partie un petit garçon rêvant d’un royaume et un roi de Patagonie, « par la grâce de Dieu et la volonté des Indiens de l’extrême sud du continent américain », qui partageront leurs songes et leur destin ; un obscur avoué périgourdin, Antoine de Tounens, qui se fait conquérant et, là-bas, au loin, sous le nom d’Orélie-Antoine Ier, se bâtit un royaume d’Araucanie et de Patagonie aux dimensions de son rêve ; enfin des indiens Alakalufs, qui se nommaient eux-mêmes « les Hommes », venaient du fond des âges et vivaient si loin, en Terre de Feu. Dans ces trois livres, Jean Raspail célèbre des vertus qu’il habille en costume traditionnel patagon pour les préserver de la médiocrité : le courage, la loyauté, la fidélité. Dans « Les confins » vivent des hommes libres, des hommes du refus qui, à l’étroit, quittent la Ville et partent vers l’inconnu, vers le Septentrion ou de l’autre côté du Fleuve, là-bas, au loin, si loin... Les deux livres racontent la même épopée, aux confins du réel et de l’imaginaire. Dans La Miséricorde, roman inspiré d’une histoire vraie, dominent là encore les notions d’honneur et de fidélité, mais aussi d’indignité et de rédemption. Jean Raspail, qui se fait ici remueur de conscience, décrit dans un « Post-scriptum », sans en révéler totalement le secret, la genèse de ce livre écrit entre 1966 et 2013. Ses protagonistes, qu’ils soient laïcs ou serviteurs de Dieu, marqueront à coup sûr les esprits. |
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• • • Jean Raspail a reçu en 2003 le Grand Prix de littérature de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre. Aux éditions Robert Laffont, il a publié, entre autres livres, et outre ceux repris dans la présente édition, La Hache des steppes, Les Hussards, L’île bleue et Le Camp des saints, sans cesse réédité depuis 1973 et traduit en huit langues.
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Jean Raspail |
Jean Raspail |
- 2014 - |
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Des trois tomes du Royaume de Borée, celui-ci est le plus dense, le plus long aussi - 64 pages, quasiment 10 de plus que les autres albums, ce qui s'explique par le fait qu'à l'origine la série devait comporter quatre albums.
Mais la nécessité de raconter toute la dernière partie en un seul
volume, depuis l'époque napoléonienne jusqu'à aujourd'hui, pour ainsi
dire, a imprimé à l'ensemble une intensité dramatique qui accentue
encore l'impression de chute irrémédiable, de course inexorable vers la
fin définitive d'un monde - quelque chose de si typiquement raspailien !
Le destin du petit homme couleur d'écorce bascule avec l'avènement du
monde moderne. Cela rappelle Qui se souvient des hommes... Mais
avec lui, c'est aussi quelque chose comme le rêve d'au-delà de l'horizon
qui s'évanouit, ne demeurant plus que dans la mémoire nostalgique de
quelques-uns. La chaîne immémoriale a été rompue. On ne regarde plus
l'horizon avec des désirs d'évasion, de dépassement de soi, peut-être
aussi de transgression; on se retourne désormais vers le passé pour se
remémorer un rêve perdu dont il ne
subsiste plus, avec les souvenirs vagues de quelques-uns, qu'une flèche,
comme un écho à la
Hache des steppes...
«
Doucement,
avec l'onction ecclésiastique, je reposai l'objet sur ma table de
travail. Table de travail, table de rêve. Et le tour de force accompli par Jacques Terpant, depuis le début de son travail sur l'oeuvre romanesque de Jean Raspail se vérifie un fois de plus ici - et ô combien ! Car ce que parvient à convoquer Jacques Terpant ici, c'est ce qui se laisse le plus difficilement traduire dans une bande dessinée : l'émotion. On referme l'album, les larmes aux yeux, tant on se sent submergé par la beauté évocatrice des dernières vignettes qui traduisent et résument si magnifiquement le talent de l'auteur à travers toute cette adaptation : cette infidèle fidélité au texte, à l'esprit de Raspail, qui s'imposait en passant de l'écrit à l'image, mais qui constituait aussi un énorme défi. Jacques Terpant a su le relever avec plus que du talent, du panache, de la poésie et une immense générosité. Chapeau l'artiste ! |
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Entretien avec Jacques Terpant
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Extraits 1
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Extraits 2 |
La nouvelle livraison du MONITEUR DE PORT-TOUNENS |
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Comme chaque année, François Tulli, Vice-Consul de
Patagonie, a publié - toujours superbement - une nouvelle livraison du
Moniteur de Port-Tounens.
Prix : 34 € (0,17 pesos patagons), port compris pour la France (Autres pays de l'Union Européenne + 3 € de port, hors Union Européenne + 5 € de port)
A commander auprès du vice-consul : Monsieur
François Tulli, Chancellerie de Patagonie - 20 avenue de Lowendal, 75015
Paris |
- RÉÉDITION - |
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Ces dernières années ont vu paraître la réédition de plusieurs ouvrages devenus introuvables de Jean Raspail.
Cela commença en 2010, avec la réédition inattendue du
second roman de Jean Raspail, Les Veuves de Santiago. |
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- 2013 - |
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Le Terpant nouveau est arrivé ! Le second volet de la superbe adaptation des Royaumes de Borée de Jean Raspail s'annonce d'ores et déjà comme une pleine et entière réussite, tant la fusion d'esprit entre l'écrivain et l'auteur de bandes dessinées semble totale... Et puis, Jacques Terpant est un véritable artiste... Ce qui change tout, en un sens. Ainsi, bien des lecteurs de Jean Raspail qui n'avaient de leur vie ouvert une bande dessinée, ont été conquis par le talent de dessinateur et surtout de coloriste de Jacques Terpant. Car il faut bien admettre que chacune des vignettes constitue à elle seule un tableau, tant l'auteur apporte de minutie à son dessin, aussi riche en détails qu'en nuances. Fidèle au roman, tout en en ayant reconstruit la trame, Jacques Terpant nous livre à travers cette nouvelle saga davantage qu'une simple illustration : une adaptation authentique, brillante et animée d'un vrai souffle épique. Chapeau l'artiste ! |
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L'image de couverture... |
Présentation |
Extraits |
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La nouvelle livraison du MONITEUR DE PORT-TOUNENS |
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Comme chaque année, François Tulli, Vice-Consul de Patagonie, vient de publier - superbement - une nouvelle livraison du Moniteur de Port-Tounens. Riche de 162 pages, ce 14e Bulletin de liaison des amitiés patagones (BLAP), abondamment illustré, est une mine pour tout amoureux de la Patagonie. Outre de nombreux témoignages et reportages de sujets de Sa Majesté Orélie-Antoine 1er à travers le monde, il offre également un ensemble unique de documents, d'article, de textes d'une variété éblouissante. Ainsi, le Jeu du Roi se poursuit-il, se gagnant chaque mois davantage d'amis - car, comme le souligne Jean Raspail dans son Éditorial : «Il se trouve que depuis quelques années, avec une nette accélération à partir du mois de mai 2012, le choix d'appartenir à l'univers onirique de Patagonie se double chez nombre de nouveaux impétrants d'une sorte de répulsion désolée à l'égard de ce qui se passe en France et d'une profonde lassitude morale face aux dérives irréversibles qui s'annoncent. On décèle chez eux la nécessité impérieuse de s'attacher à une patrie de rechange, et le besoin véritable de s'y exiler, non pas géographiquement (ou fiscalement!) mais pour établir une frontière aussi nette que symbolique à l'abri de laquelle ils puissent respirer à l'aise...» Prix : 33 € (0,33 pesos patagons), port compris pour la France (Autres pays de l'Union Européenne + 3 € de port, hors Union Européenne + 5 € de port)
A commander auprès du vice-consul : Monsieur
François Tulli, Chancellerie de Patagonie - 20 avenue de Lowendal, 75015
Paris
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Anciens numéros du Moniteur de Port-Tounens |
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BLAP n° 12 |
BLAP n° 13 |
Le n° 12 est au prix de 15 euros et le n° 13 au prix de
20 euros |
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- DERNIERES RÉÉDITIONS - |
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Ces deux dernières années ont vu paraître la réédition de plusieurs ouvrages devenus introuvables de Jean Raspail. Cela commença en 2010, avec la réédition inattendue du second roman de Jean Raspail, Les Veuves de Santiago. Le roman d'un débutant, dont la qualité littéraire est certes inégale mais qui mérite d'être lu ou relu aujourd'hui dans la superbe réédition de la Maison Via Romana, agrémentée d'une préface d'Anne Brassié et d'illustrations dues à Yan Méot. «Les Veuves de Santiago, note Anne Brassié, se révéla encore plus précieux que je ne le pensais car c'est le cinquième livre de l'auteur et seulement son second roman. Il a 37 ans. [...] En 1960, le voyageur est bloqué trois jours dans une gare du Congo, au Katanga. Temps de guerre mais pour l'écrivain temps idéal où commencer un nouveau livre inspiré cette fois de la Cordillère des Andes que Jean Raspail a arpentée avant l'Afrique. Envoyé par Le Figaro l'écrivain est resté cinq mois au Pérou, séjournant dans la vieille hacienda de deux frères, grands propriétaires terriens, héritiers d'une très ancienne famille. [...] Les héros de Jean Raspail diffèrent totalement des héros de Proust. Ils ont besoin de vastes horizons, de plaines immenses et de plateau venteux. Jean Raspail est un écrivain voyageur. L'air des territoires battus aux vents explorés dans sa jeunesse, souffle sur chacune de ses pages.» Et de fait, Les Veuves de Santiago vous emportent au galop en terre indienne, sur l'altiplano du Pérou, face à l'irruption de la société moderne - thème on ne peut plus raspailien... |
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Aux Veuves de Santiago succéda, en 2011, la réédition de Journal Peau-Rouge, sous-titré : Mes libres voyages dans les réserves indiennes des États-Unis d'Amérique. De ce sous-titre, retenons "libres"; car ce Journal est d'abord celui d'un esprit libre, qui aime à s'aventurer hors des sentiers battus...
Journal
peau-rouge est le compte-rendu quasi-quotidien d’un écrivain
français désireux de connaître la situation exacte des Indiens aux
États-Unis au moment où le pays traverse une crise induite par
le Watergate, la défaite au Vietnam, la contestation post-Sixties
et le déclin économique. Raspail arrive à New-York le 2 mai 1974 et
voyage d’Est en Ouest jusqu’en août. Il visitera une trentaine de
tribus. Cette année-là, le mouvement politique indien est en pleine
effervescence.
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Enfin, en 2012, les éditions Via Romana ont eu l'heureuse initiative de rééditer cette fois Secouons le cocotier, 3000 km de navigation à travers la Guadeloupe, la Désirade, les Saintes, Saint-Barthélémy, Saint-Martin, Saba, la Dominique, les Grenadines... «On a enfilé sans pudeur, à propos des Antilles, les mêmes lieux communs, jusqu'à l'écœurement, note Jean Raspail. Je ne déteste pas les Antilles, je les aime parfois beaucoup, à la folie rarement, et rarement pas du tout, mais j'en ai par-dessus la tête de la littérature de voyage. On ne peut plus lire un récit de voyage dans lequel l'auteur ne se croit pas obligé de s'exprimer comme un dépliant publicitaire en couleurs, car la civilisation des loisirs a broyé la littérature de voyage dans la moulinette touristique. Il n'y a donc plus qu'à tirer l'échelle, et tout recommencer. C'est ce que je fais...» |
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- RENTRÉE LITTÉRAIRE 2011 - |
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Après la parution des trois tomes de l'adaptation très réussie des Sept Cavaliers, Jacques Terpant s'est attaqué à une nouvelle adaptation d'un roman de Jean Raspail, Les Royaumes de Borée, devenue pour l'occasion Le Royaume de Borée, en trois volumes également. Dans le vaste monde de la BD, il en va comme dans le monde du roman : c'est le style qui différencie l'homme ou la femme de talent du tout venant. Le style de Jacques Terpant est immédiatement identifiable : d'abord par la précision du dessin - fruit de longues recherches -, la maîtrise des volumes, et surtout, de notre point de vue, son extraordinaire talent de coloriste. Chacune de ses vignettes constitue, en elle-même, un petit tableau, une miniature, d'une beauté époustouflante qui, aussitôt qu'on se plonge de la lecture-contemplation de chaque planche transporte ailleurs. C'est probablement en cela que Jacques Terpant était destiné à croiser la route de Jean Raspail. Et puis, il y a le travail d'adaptation, la mise en dialogues, très respectueux du texte original. Jean Raspail, un peu sceptique au départ de l'aventure, s'est du reste laissé aisément conquérir par le travail de Jacques Terpant, à propos duquel il ne tarit pas d'éloges. Et l'on sait qu'il n'est pas du genre à manier la langue de bois. C'est donc les yeux, non pas fermés mais grand ouverts que tout lecteur des romans de Jean Raspail peut se précipiter sur cette nouvelle adaptation, dont Jacques Terpant offre au visiteur du site la primeur, à travers ces quelques exemples de planches. SORTIE : le 24 août 2011 |
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Nouvelle édition du Camp des
Saints |
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La Nouvelle Année nous apporte ainsi, non pas un "Raspail nouveau", mais un retour sur un "Raspail ancien" - plus que jamais d'actualité ! On ne présente plus Le Camp des Saints, sans doute l'un des romans parmi les plus emblématiques de Jean Raspail; celui qui est le plus spontanément associé à son nom, celui qui lui valut et lui vaut encore la part la plus controversée de sa célébrité, tant il est vrai que le roman pose questions, soulève débats, polémiques... et suscite le malentendu, généralement parmi ceux-là même qui ne l'ont pas lu. De surcroît, le thème du roman étant devenu d'une brûlante actualité en l'espace de presque quarante ans (la première édition remonte à 1973!), l'ouvrage, en lui-même, constitue une sorte de survivant d'un temps où la liberté d'expression n'était pas aussi "encadrée" qu'elle l'est aujourd'hui. En l'état, Le Camp des Saints serait impubliable de nos jours, puisqu'il tomberait sous le coup des lois Gayssot (1990), Lellouche (2001) et Perben (2004), ainsi que le note l'auteur dans la longue préface dont il a agrémenté la présente réédition du Camp des Saints, sous le titre Big Other, en référence au célèbre roman de George Orwell. On le sait : depuis Les Royaumes de Borée, Jean Raspail effectue un retour sur son œuvre et sur son parcours, avec la publication en 2005 de En canot sur les chemins d'eau du roi, et en 2010 la réédition des Veuves de Santiago. A ce titre, Big Other constitue donc également un retour sur une œuvre qui, par sa thématique, se rattache aux autres romans - parmi lesquels Qui se souvient des hommes - et récits de l'auteur consacrés aux peuples sur le point de s'éteindre. Sauf que le peuple dont il s'agit en l'occurrence, c'est nous ! Roman d'anticipation, donc, Le Camp des Saints nous confronte en premier lieu à notre propre devenir - possible? Voire certain? C'est là que s'amorce le débat. Par le biais de Big Other, Jean Raspail a tenu à faire le point sur cette anticipation écrite il y a quarante ans de cela. Et comme il fallait s'y attendre, la mise à point ne manque pas de panache ! On pourrait même dire qu'en un certain sens, Jean Raspail enfonce le clou. Là où ça fait le plus mal. Il est vrai que le caractère pour ainsi dire prophétique du Camp des Saints n'a pas été démenti par les faits et que la réalité est en passe de rattraper la fiction...
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La Nouvelle édition du Camp des Saints dans la presse |
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Figaro-Magazine - 05.02.2011 | Valeurs Actuelles - 16.02.2011 | Le Point - 17.02.2011 | |||
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LA RENTRÉE 2010 DE JEAN RASPAIL |
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Riche actualité pour Jean Raspail, en cette Rentrée 2010. Tout d'abord, fin août : la parution du tome 3, Le Pont de Sépharée, de l'adaptation en bandes dessinées, très réussie, des Sept Cavaliers. Salué par la critique et plébiscité par les lecteurs, le travail de Jacques Terpant est en tout point remarquable. Le graphisme est superbe, la palette des couleurs somptueuse... C'est avec un très grand talent que Jacques Terpant a su capter l'atmosphère du roman de Jean Raspail. Il excelle à peindre les paysages aussi bien que les châteaux, à rendre vivants les personnages, caractérisant chacun. Presque chaque vignette constitue une véritable œuvre d'art. Jean Raspail ne s'y est pas trompé du reste, lui qui était plutôt réservé au début de l'aventure. Son enthousiasme n'a cessé de croître. A telle enseigne qu'il a donné son aval au nouveau projet de Jacques Terpant : l'adaptation des Royaumes de Borée... |
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DÉCOUVREZ DES PLANCHES |
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Les Veuves de Santiago vous emportent au galop en terre indienne, sur l’altiplano du Pérou, face à l’irruption de la société moderne. Outre la vie, les traditions, la déchéance des grands féodaux propriétaires d’haciendas, Jean Raspail met en scène la lutte acharnée, mais aussi les joies, les peines, les amours de femmes altières et séductrices qui vont entraîner leurs hommes sur le chemin de la résistance. Horizons infinis, cavaliers fils de conquistadors, épouses, servantes-maîtresses, mères ou amantes de haut caractère, cette histoire de chair et de sang s’ouvre par la prédiction d’un sorcier bossu… Les aquarelles du peintre et grand voyageur Yan Méot illustrent magnifiquement cette saga d’un monde perdu. Vous pouvez commander l'ouvrage directement chez l'éditeur :
VIA ROMANA |
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Signalons l'excellent ouvrage de Philippe Sauve, Horizon Dakota : En canoë sur la rivière sacrée à la rencontre de la Nations Sioux, ainsi présenté par Jean Raspail :
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Signalons également la récente publication aux éditions Sainte-Madeleine de l'excellent ouvrage de Madeleine Roussel consacré à l'univers romanesque de Jean Raspail, Jean Raspail - Miroir d'une œuvre, ainsi présenté par l"éditeur : Dans la " morne plaine " du monde littéraire contemporain, Raspail fait partie des très rares romanciers qui émergent de la médiocrité. Pour le dire sans détours, il y a chez lui du génie : faute impardonnable aujourd'hui... Pire encore pour beaucoup : sa haine de tout consensus mou et son amour ardent de la civilisation occidentale. Chantre des épopées qui échouent, il pourrait passer pour pessimiste, mais chacun de ses livres est une invitation pour le lecteur à réussir sa propre aventure individuelle. Si l'on ne peut toujours changer LA vie, il reste possible de changer DE vie. Une cause noblement défendue grandit celui qui se bat pour elle. Elle enrichit le monde d'un peu de " panache " et de ce " supplément d'âme " qui seul peut l'empêcher de mourir tout à fait. Dans son petit essai, Madeleine Roussel nous promène à travers l'oeuvre de Raspail " avec exactitude topographique et véritable compréhension du "terrain" : virtuosité et intelligence " (lettre de Jean Raspail à l'auteur). C'est de fait une magnifique analyse littéraire conduite avec ordre et logique, qui donne au lecteur l'agréable impression d'être intelligent... Vous pouvez commander l'ouvrage directement chez l'éditeur :
Éditions Sainte-Madeleine
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JEAN RASPAIL EN BANDE DESSINÉE Le tome 2, Le Prix du sang, de la superbe adaptation en BD, par Jacques Terpant, de Sept Cavaliers sortira aux Éditions Delcourt (accompagné d'une réédition du Tome 1) fin août 2009 ! Commandez-le dès maintenant ! |
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DÉCOUVREZ DES PLANCHES |
ENTRETIEN AVEC JEAN RASPAIL |
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JEAN RASPAIL REÇOIT Le Prix Combourg est décerné chaque année à un écrivain dont le style honore la mémoire et l’œuvre de Chateaubriand qui passa au château de Combourg (Ille et Vilaine) une partie de sa jeunesse. Le dixième prix Combourg a été décerné en présence de nombreuses personnalités à l'écrivain voyageur Jean Raspail pour son livre «Septentrion» et l'ensemble de son œuvre. Grand voyageur, journaliste et romancier, Jean Raspail revendique ses sentiments royalistes.
Le Jury du Prix Combourg : |
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JEAN RASPAIL EN BANDES DESSINÉES
Grand événement : Le tome 1 (il y en aura 3 en tout) de l'adaptation par Jacques Terpant de Sept Cavaliers vient de sortir aux Éditions Delcourt. La bande-dessinée, qui reprend le texte de Jean Raspail est très belle - superbe graphisme, superbes couleurs -, très respectueuse de l'œuvre et de son esprit. Pour une première, il s'agit d'une réussite incontestable qui, du reste, a soulevé l'enthousiasme de Jean Raspail ! A acquérir de toute urgence ! |
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DÉCOUVREZ DES PLANCHES
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Entretien avec Jean Raspail |
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RÉÉDITION D'UN DES TRÈS GRANDS ROMANS DE JEAN RASPAIL : SEPTENTRION
«Maintenant, ils roulent vers le
nord. Ils ont quitté la ville juste à temps, avant l'invasion
sournoise venue du sud, et dont ils ont été les seuls à percevoir
la nature, ne recouvre la cité de son uniformité grise. Trente-cinq
compagnons de hasard qu'un même instinct a réunis dans cet antique
train jaune et or, superbe relique d'une époque glorieuse de
l'histoire du Septentrion. Autour de Kandall, de la belle Clara de
Hutte et de Jean Rudeau, il y a des femmes, des enfants, cinq dragons,
quatre hussards, deux mécaniciens, un chiffonnier, un prêtre qui
sent le soufre, quelques autres encore. Trente-cinq : les hommes du
refus, les derniers hommes libres.
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Pour plus de détails, voir notre page |
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LE "HUARD" RETROUVÉ !
Or, par un extraordinaire hasard, voilà que le HUARD a
été retrouvé par un admirateur de Jean Raspail... Début avril, Jean Raspail est venu "reconnaître" officiellement le canot, non sans émotion, à l'invitation de l'association des Randscouts & Randguides... VOIR notre "Album-souvenir" ci-contre !
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LE GRAND PRIX DES EXPLORATIONS ET DES VOYAGES DE
DÉCOUVERTE
Ce grand prix a été
attribué pour la première fois en 1829, au capitaine John Franklin,
explorateur polaire, puis en 1830 à René Caillé pour son voyage à
Tombouctou. La société de Géographie a été fondée en 1821 sous le règne du roi Louis XVIII. Elle est la plus ancienne société de géographie au monde, avant Berlin (1828), Londres (1830) et New York (1852). Son président actuel est M. Jean Bastié, professeur émérite de géographie à la Sorbonne, et son vice-président le professeur Jean-Robert Pitte, président de l'Université Paris-Sorbonne. Le prix sera remis à Jean Raspail le 24 novembre au siège de la Société de Géographie, en présence de M. Erik Orsenna, de l'Académie française, lauréat 2006, qui prononcera l'allocution rituelle.
* * * LE DICTIONNAIRE DES PIKKENDORFF - UN INÉDIT DE JEAN RASPAIL SUR LE SITE...
C'est un cadeau précieux que JEAN RASPAIL a décidé de faire aux
visiteurs de son site : LE DICTIONNAIRE COMPLET DES PIKKENDORFF! Il le
conservait sous le coude depuis déjà un certain temps, avec le projet de
le publier en édition limitée et illustrée. Le projet a fait long feu -
et c'est ainsi que JEAN RASPAIL a décidé de nous l'offrir. Outre la mine
d'anecdotes qu'il représente, il constituera aussi, n'en doutons pas, un
outil fort utile pour tous les lecteurs des oeuvres de Jean Raspail. La
mise en page, la présentation, l'index nous ont pris énormément de
temps. Peut-être s'est-il glissé quelques erreurs?... N'hésitez pas à
nous les signaler. En juin 2004, JEAN RASPAIL a publié un article très polémique, dans les colonnes du FIGARO, en réponse à la question : "QU'EST-CE QU'ÊTRE FRANÇAIS AUJOURD'HUI ? Après d'Hélène Carrère d'Encausse, Alexandre Adler, Michel Wieviorka, Alain-Gérard Slama, Max Gallo et des entretiens avec René Girard, Claude Bébéar et Amin Maalouf, la tribune de Jean Raspail, intitulée LA PATRIE TRAHIE PAR LA RÉPUBLIQUE fit l'effet d'une bombe. Nous en reproduisons le texte dans les pages "ENTRETIENS & TEXTES DIVERS".
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2006 : Le 11ème Prix |
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